«Je l’ai dit et je site. Il n’y aura pas d’année blanche, mais toi qui a été perdue sera récupérée.»

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« …Je l'ai dit et je site. Il n'y aura pas d'année blanche, mais toi qui a été perdue sera récupérée. »
Moyindo Nzangi : « Je l’ai dit et je site. Il n’y aura pas d’année blanche, mais toi qui a été perdue sera récupérée. »

« Je l’ai dit et je site. Il n’y aura pas d’année blanche, mais toi qui a été perdue sera récupérée »


À quand la reprise effective des cours à l’enseignement supérieur et universitaire ? Le doute continue à planer et cela énerve les étudiants. Toujours pas déçu face aux revendications des professeurs, il y a eu des manifestations hier dans quelques institutions de l’enseignement supérieur et universitaire, entre autres à l’UPN et l’ISP Gombe. Une délégation de ces étudiants qui manifestaient est allé voir le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire qui leur a rassuré de la reprise imminente des cours.

Ne brûlez, chant de colère. Ils ont presque barricadé la chaussée devant leur université, les manifestants surchauffé face aux policiers qui freine leur progression, les étudiants de l’université pédagogique nationale, manifestent de le ras-le-bol suite à la non reprise des cours par les enseignants encore en grève, bientôt 2 mois.

L’un des étudiants a expliqué leur préoccupation : « c’est-à-dire ? Nous sommes dans un pays démocratique et nous devons revendiquer, si ça ne marche pas, ça ne marche pas. Nous réclamons la délibération, un d’abord été reprise de toutes les activités académiques. Ça fait 3 mois. Nous restons à la maison, nous avons payé nos pays académiques. Nous avons tout payé. Même le vrai qu’on ne connaît pas où ça vient. Vous ça doit-on a payé, mais pourquoi pas. On ne va pas, nous délibéré. »

Sur l’UPN manifestent devant son campus, les étudiants de l’Institut supérieur de la Gombe se sont, eux, dirigés vers le ministère de l’enseignement supérieur et universitaire. Ils disent craindre une année blanche.

Ils ont été reçus et échangés avec Moyindo Nzangi qui les a rassurés d’avoir tout mis sur pied pour la reprise de cette semaine de cours et la fin de la grève. Il signe et persiste, il n’y aura pas d’année blanche.
« Ils ont le même message que les étudiants de l’UPN, l’ISPT, l’UNILU et l’UNIKIN qui, eux aussi, se sortis aujourd’hui manifester et ils ont raison puisque depuis que nous avons lancé l’année académique, les 5, jusqu’ aujourd’hui, dans certains établissements, les cours n’ont pas encore repris. C’est pour cette raison là que je voudrais profiter de ce moment pour appeler tout le monde, prendre ses responsabilités si tout pour le respect de la jeunesse et les étudiants pour que nous ne puissions pas gâcher leur avenir est de la responsabilité de notre gouvernement de pouvoir les faire, j’ai promis aux étudiants que nous allons faire tout ce qui est possible pour que, avant la fin de cette semaine, les choses puissent normaliser. Je l’ai dit et je site. Il n’y aura pas d’année blanche, mais toi qui a été perdue sera récupérée. »

Prendre du son là revendication de tous les étudiants concernés, c’est délégation, s’est dite satisfaite des assurances du ministre pour la reprise à partir de lundi prochain, les cours.
« Je lance un message de paix dans toutes les institutions où universités publiques de la capitale de Kinshasa où provinciaux, de se calmer parce que le ministre de tutelle de l’enseignement supérieur universitaire nous a rassuré d’ici cette semaine, ou la fin de la semaine, il y aura déjà la reprise des activités académiques. », dit un autre étudiant

Cette manifestation des étudiants de l’UPN, l’ISP, UNIKIS et UNILU, est une expression d’impatience des étudiants de toutes les institutions académiques publiques dont les professeurs sont encore en grève. Toutes les parties sont appelées à trouver une solution, une solution durable.

« L’État devrait tenir, prendre en compte les desiderata des enseignants qui sont ici d’heures de cours. Qu’est ce qu’ils veulent et venir à l’aide de ses étudiants ? Mais commencez d’abord à interpeller vos collègues, professeurs aussi qui sont au Parlement d’initier, n’est-ce pas de loi auquel on va majorer les budgets parce que quand les budgets ébouser, si en ce moment-là, maintenant tu auras de l’argent pour payer le professeur, parce qu’au cas où les budgets et toujours maigre, les salaires ne seront aussi statiques. »


Le gouvernement et le professeur ont récemment signé un protocole mettant fin à la grève. Ces manifestations des étudiants interviennent au moment où la commission paritaire, gouvernement syndical poursuit les négociations et nécessitent d’être achevées le plus vite que possible pour ne pas handicaper les étudiants et perturber une année académique qui connaît déjà des retards.

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