La relecture et l’amendement de la proposition de loi contre le tribalisme, le racisme, la génophobie ont fait l’objet d’un atelier organisé par le bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme.
La relecture et l’amendement de la proposition de loi contre le tribalisme, le racisme, la g xénophobie ont fait l’objet d’un atelier organisé par le bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme. Des députés nationaux, des professeurs des droits et des experts des Nations unies se sont réunis afin de diagnostiquer ces propositions pour un document mûri avant son adoption par l’Assemblée nationale a la session de mars.
La relecture et amendement de la proposition de loi contre le tribalisme, le racisme et la xénophobie des questions prioritaires que le bureau conjoint des Nations unies aux vs droits de l’homme met sur le tapis afin d’harmoniser les points de vue des experts avant l’adoption à la session de mars 2022. Au cours de cet atelier, les députés nationaux, les avocats, les experts des Nations unies se proposent des idées pour placer la barre très haute afin d’aboutir à une proposition de loi qui viendra pallier le problème.
Le Président de la commission de droits de l’homme à l’Assemblée nationale se dit satisfait des associés au BCNDH afin d’arriver à bon port.
« Le tribalisme, la xénophobie s’exacerbe et s’enracine de plus en plus dans la société congolaise, depuis les élections de 2018, mettant ainsi en danger l’unité de la cohésion nationale de le vivre ensemble des Congolais. nous prie donc de nous y référer durant les travaux de cet atelier afin d’aboutir à une proposition de loi, qui aura à cœur de combattre efficacement la discrimination et l’intolérance tout en respectant les libertés fondamentales, en particulier, la liberté d’expression. », dit Hon. Simon-Pierre Iyananio
La directrice adjointe du BCNDH a émis les vœux de voir cette proposition, initiée par le député Sakata, s’inscrire dans la ligne droite que cette entité des Nations unies s’est assignée dès sa création.
Le tribalisme, le racisme, la xénophobie, des fléaux à éradiquer au sein de la société cette proposition de loi trouve tout son sens pour le bien-être de la société.