Le Président Felix Tshisekedi Tshilombo offre des bus pour le transport des prisonniers
Le transport des détenus d’un tribunal au centre carcéral ou d’un centre carcéral à l’autre devrait se faire dans le respect des droits humains. Cette vision du chef de l’État a pour finalité de réduire aussi les risques d’évasion, c’est le sens du don des bus fait par Félix Tshisekedi Tshilombo.
Assurer en toute sécurité le transport des prisonniers d’un tribunal à un site carcéral ou d’un site carcéral à un autre. C’est le sens de ce don du chef de l’État Félix Tshisekedi Tshilombo en faveur de l’administration pénitentiaire, geste qui fait suite à sa promesse, celle d’humaniser les conditions carcérales des détenus.
La cérémonie de remise de ce fourgon cellulaire a eu lieu au palais de la nation entre d’une part, le directeur de cabinet adjoint du chef de l’État en charge des questions politiques, juridiques et diplomatiques, Madame Nicole Tumba Bwatshia, représenté par les assistants coordonnateurs membres de son cabinet et de l’autre, par la ministre de la justice et garde des Sceaux, représentée elle par le secrétaire général à la justice.
Derrière ce précieux donc du président de la République, l’idée est d’améliorer les conditions de transfert des prisonniers mais aussi réduire le risque d’évasion des prévenus pendant leurs déplacements.
Les administrateurs ont dû exprimer leur gratitude au chef de l’Etat.
« C’est pour la première fois que nous recevons un tel véhicule qui réunit toutes les conditions humanitaires si vous voulez. Donc, nous avons qu’un seul mot, le remerciement à l’égard de son Excellence Monsieur le Président de la République pour l’acte qui vient déposer »
« Sa part des franchises et que c’est quelque chose d’original qu’on n’a jamais vécu dans ce pays. C’est ça qui est plus symbolique, mais il faut dire que c’est un premier pas. D’autres réalisations seront tenues comme Monsieur le Président de la république a toujours l’habitude de le faire.
Ce fourgon cellulaire de marque « MAN BUS » don, du chef de l’État est équipé d’une caméra de surveillance et de petites cellules aménagées afin de séparer les prévenus en groupe des 2 à 4.
