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RDC : Le mandat du chef de l’État pourra alors passer de 5 à 7 ans

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RDC : Le mandat du chef de l'État pourra alors passer de 5 à 7 ans
Image : Kinzonzi.cd

RDC : Le mandat du chef de l’État pourra alors passer de 5 à 7 ans

Nous sommes à quelques jours de la session ordinaire de mars à l’Assemblée nationale. Elle sera une session aux enjeux essentiellement électoraux au regard des réformes attendues pour baliser la voie vers la tenue des élections de 2023. Les débats s’annoncent déjà houleux sur certaines matières qui ne requièrent pas encore le Consensus, des acteurs concernés, notamment des acteurs politiques. C’est session sera aussi marquée par des motions de destitution initiée l’une contre le premier vice-président de l’Assemblée Jean-Marc Kabund, après sa radiation du parti au pouvoir, l’UDPS et l’autre contre Christophe Mboso Kodia, par un groupe d’élus nationaux.

À 18 mois, sauf imprévu de la présidentielle de 2023, la session ordinaire qui s’ouvre ces 15 mars à l’Assemblée nationale s’annonce agitée et aura des contours extrêmement politiques.

Une session ordinaire qui s’est veut à la fois aux enjeux électoraux et politiques, dans la danse des députés nationaux de l’Union sacrée, des nations plateforme soutenant la vision du président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo tiennent à modifier certaines dispositions de la loi électorale, notamment les retours à 2 tours de la course à la magistrature suprême, comme en 2006.
D’autres élus les jurent que sur l’implication dont les calendriers de cette session, de la proposition des lois dites de la congolité, initiative de Noel Tshiani portées par le député nationale, Tingi Pululu. D’après cet élu national de la capitale, cette proposition de loi limite l’accès à certains postes des responsabilités qu’au congolais des pères et des mères, notamment pour la présidence de la République, l’armée, la police, les services de sécurité et autres institutions de la République.

Une autre frange de la représentation nationale c’est lance dans la bataille pour obtenir la révision à la hausse du mandat du chef de l’État qui, une fois adopté après examen général et promulguée par le président de la République, le mandat du chef de l’État pourra alors passer de 5 à 7 ans. En ce qui concerne les élections des gouverneurs et des sénateurs, une autre opinion des élus nationaux optent pour les suffrages universels directs au regard des faits de corruption concertés pendant les votes. D’après les formats actuels ou des voix aurait été, nous voyons

Voilà autant de réformes électorales voulu consensuelle par les parties prenantes au processus électoral en vue des élections transparentes, démocratiques et réellement apaisée. Pendant ce temps, un vent des destinations semble souffler au bureau de la chambre basse du Parlement.
Radié par son parti au pouvoir, l’UDPS Jean Marc Kabund est visé par une motion de censure initiée par les élus nationaux de son ancien parti, est soutenu par les autres membres des liens sacrés des nations pour être éjecté de son poste de premier vice-président de l’Assemblée nationale au cas où cet élu national affectueusement appelé maître-nageur ne démissionnerait pas de ses fonctions.

Dans les couloirs du palais du peuple, des noms sont déjà cités pour son remplacement, à l’instar du professeur Mbata actuellement président de la Commission PSG à l’Assemblée nationale. Une autre figure des pros aussi visé par une motion de défiance et Christophe Mboso, président de l’Assemblée nationale. Pour un groupe de pétitionnaires le président de l’Assemblée nationale est accusé de ne pas jouer comme il fallait son rôle, d’expliquer de la chambre basse du Parlement.

« Par irresponsabilité de l’Assemblée nationale cire tout à travers la tête l’honorable président Mboso qui est en train de gérer toutes les initiatives qui pouvaient permettre à ces qu’on fasse les contrôles sur les gouvernements et pour que le pays aille de l’enfant », dit l’un des députés de pétitionnaires.

Riche en matière c’est aux sessions ordinaires de mars va aussi répondre l’examen et l’adoption des projets de loi portant poursuite des opérations militaires contre les forces négatives dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri, placé en état des sièges par les chefs de l’État, il y a presque 10 mois déjà.

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